C'est ainsi qu'est né Banabag, une solution 100% durable, en papier, conçue pour protéger les régimes de bananes pendant tout le cycle de croissance du fruit, leur permettant ainsi d'arriver à l'extérieur de manière saine et de haute qualité pour être consommés. Cependant, en plus de ses caractéristiques durables, Banabag agit comme un isolant naturel qui aide à protéger les bananes de la pluie, du vent, de la friction entre les fruits et empêche la surchauffe qui se produit parfois avec d'autres matériaux non durables qui ont été traditionnellement utilisés pour cette fonction.

L'équipe technique de Smurfit Kappa a assuré qu'il s'agit d'un papier fini machine 100% renouvelable, recyclable, compostable et biodégradable. Bien qu'il fonctionne de la même manière que les autres sacs à bananes, sa principale différence réside dans son impact sur l'environnement et dans la maximisation de la qualité des fruits.

L'utilisation de cette nouvelle proposition fonctionne aussi bien en agriculture conventionnelle qu'en agriculture biologique et convient également à tout cultivateur qui souhaite accroître la durabilité de sa plantation. Elle offre une opportunité totalement nouvelle qui rend les produits plus respectueux de l'environnement et, par conséquent, mieux valorisés par les marchés internationaux.

Sans compter les avantages en termes d'optimisation des coûts et d'efficacité aux différents stades de la croissance des fruits. Il convient de noter que l'Amérique du Sud et l'Amérique centrale abritent certains des plus grands exportateurs de bananes du monde.

En effet, l'Équateur, la Colombie, le Costa Rica et la République dominicaine figurent sur la liste des 10 pays qui exportent plus de 80 % de ce produit à l'international, notamment vers l'Europe, ce qui constitue un véritable défi pour les producteurs.

Déséquilibre entre les coûts et les ventes :

Bien que le secteur agricole se soit avéré être l'un des moins touchés par la pandémie, le syndicat de la banane a déclaré que dans leur cas, 2021 a été une année assez complexe, car ils ont dû assumer les augmentations excessives du coût des intrants au niveau mondial et maintenir le prix de vente stable. Dans ce contexte, ils ont insisté sur l'appel à une responsabilité partagée de la part des grands acheteurs internationaux.

Source : 26/01/2022, Agronegocios