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La BIAT (Banque Internationale Arabe de Tunisie) poursuit son engagement auprès des initiatives mondiales pour la transformation positive et le développement durable des économies. Elle a rejoint la coalition des chefs d’entreprises africains ABLC et signé la déclaration Climate Statement en marge des travaux de la COP 27.
L’adhésion de la BIAT à la coalition ABLC vient consolider son rôle de banque responsable et visionnaire, consciente de l’importance capitale d’agir contre le changement climatique et de respecter l’environnement pour accompagner le développement d’une économie durable.
La BIAT a ainsi rejoint les 56 signataires de la déclaration pour le climat des chefs d’entreprises africains : Climate Statement qui a été annoncée le 9 novembre 2022 en marge des travaux de la COP27 en Egypte.
Banque citoyenne intégrant la responsabilité sociétale au cœur de sa stratégie, la BIAT, à travers la concrétisation de cette nouvelle adhésion, consolide son engagement en faveur de la mise en place d’un cadre commun pour le développement d’un avenir positif et durable.
A propos de l’ABLC (Africa Business Leaders Coalition) :
Créée par le Pacte Mondial des Nations Unies, la coalition des chefs d’entreprises africains ABLC a pour but de faire progresser la croissance, la prospérité et le développement durable de l’Afrique. Regroupant près de quatre-vingts chefs d’entreprises et Présidents de conseil d’administration africains, cette coalition entend porter une voix unifiée et ambitieuse des entreprises africaines à la COP 27 à l'aboutissement des projets.
A propos du Climate Statement :
La déclaration pour le climat prône le respect des principes du pacte mondial des Nations Unis dans les pratiques commerciales des entreprises ainsi qu’avec les fournisseurs et les clients ; vise à développer des plans de résilience d'entreprises solides pour améliorer la capacité d'adaptation et renforcer la résilience systémique tout en tenant compte des risques climatiques ; entend fixer des objectifs pour augmenter considérablement la part des énergies renouvelables dans la consommation d'énergie ; appelle les gouvernements à traduire les plans climatiques en Afrique, en pipelines de projets climatiques bancables et à la création d'un environnement propice qui facilite un accès accru au financement et garantit que les entreprises africaines puissent tirer parti des marchés mondiaux.