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Être contactéLa DGE est ferme à ce sujet : les protéines végétales devraient jouer un rôle encore plus important dans notre alimentation. "Si nous voulons nous nourrir sainement tout en préservant l'environnement, nous devons maintenant changer notre alimentation", déclare le professeur Bernhard Watzl, président de la DGE.
La production d'aliments d'origine animale, comme la viande et les produits laitiers, a un impact plus important sur l'environnement et une consommation élevée de viande est associée à un risque plus élevé de développer certaines maladies. Concrètement, cela signifie qu'une alimentation saine et écologiquement durable se compose pour plus de ¾ d'aliments végétaux et pour à peine ¼ d'aliments d'origine animale. La part des aliments d'origine animale est moins importante qu'auparavant. Les recommandations révisées prennent par exemple en compte deux portions de lait et de produits laitiers par jour, soit une portion de moins que dans les recommandations précédentes. En outre, il suffit de consommer chaque semaine au maximum 300 g de viande et de charcuterie, contre 300 à 600 g auparavant. Pour le poisson, on en reste à une ou deux portions par semaine.
Les aliments d'origine végétale sont désormais davantage mis en avant dans les recommandations de la DGE : les légumineuses telles que les pois, les haricots, les lentilles ainsi que les noix font l'objet d'une recommandation spécifique.
Source : Communiqué de presse de la DGE, mars 2024