Destinée au stockage d'énergie dans les centrales éoliennes et solaires, cette nouvelle batterie se distingue des autres projets de l’industrie. Elle utilise des matériaux locaux et abondants comme le sodium et le fer et ne dépend pas de matières premières rares parfois issus de zones de conflit comme le lithium, le nickel et le cobalt. Les cellules en cours de développement afficheraient une densité d'énergie de 160 Wh/kg dépassant les plus belles performances sur le marché actuellement. Elles auraient une meilleure résistance aux variations de température et les coûts de production associés seraient moins élevés que ceux d’autres cellules de batterie. La production d'essais devrait être lancée début 2024 pour une commercialisation prévue d’ici 2030. 

Source : service économique régional de Stockholm, brèves économiques n°64