UN CONTEXTE TRES FAVORABLE AUX ENTREPRISES FRANCAISES !

Le marché allemand des batteries lithium-ion et des véhicules électriques connaît une croissance exceptionnelle, offrant des opportunités majeures pour les sous-traitants français. Avec une estimation de croissance annuelle de plus de 10 % jusqu’en 2027 et une forte augmentation prévue jusqu’en 2040, ce secteur représente un axe stratégique de développement.

D’ici 2030, l’Allemagne prévoit une capacité de production annuelle de près de 400 GWh, soit de quoi équiper environ 6,5 millions de voitures électriques. Cet effort s’inscrit dans un objectif national ambitieux : atteindre entre 7 et 10 millions de véhicules électriques immatriculés à cette échéance. Dans cette dynamique, l’Allemagne pourrait fournir jusqu'à 25 % des batteries nécessaires en Europe, ce qui signifie qu’une voiture électrique sur quatre produite sur le continent pourrait rouler avec une batterie fabriquée en Allemagne.

Dans ce contexte, les constructeurs (Mercedes-Benz, BMW, Porsche, Audi, Volkswagen ) et équipementiers allemands (Mahle, Robert Bosch, Schaeffler, Varta, Cellforce etc...) accélèrent leurs investissements en recherche et développement, notamment pour explorer des alternatives au moteur à combustion et améliorer les performances des batteries.

Les sous-traitants français disposent d’une opportunité stratégique pour collaborer avec cet écosystème en forte expansion. Grâce à leur expertise dans le domaine des batteries, ils peuvent répondre aux besoins croissants en innovation et en production de composants critiques pour les batteries et les véhicules électriques.

Le renforcement de la coopération franco-allemande dans le domaine de la mobilité durable est essentiel pour répondre aux exigences environnementales et industrielles de demain, tout en consolidant la compétitivité européenne face aux marchés asiatiques et américains.

Dans le cadre du programme régional export, bénéficiez d'un accompagnement personnalisé et d'une aide financière de la région (pouvant aller jusqu'à 50 % du coût) sous réserve de l’adoption du Programme Régional Export 2025.