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La direction régionale a approuvé un certain nombre de critères et de modalités de dépassement du financement conformément au programme, mettant à disposition une enveloppe d’1 M EUR. L’appel est lancé aux communes, aux citoyens, aux associations, aux entreprises hospitalières, aux structures d’accueil, aux institutions scolaires et universitaires et aux organisations représentant les personnes âgées et les consommateurs.
L’assesseur à la Santé et aux Services Sociaux explique ainsi que « l’objectif des actions prévues par le plan est de maintenir la personne au centre afin qu’elle puisse vivre pleinement face aux changements déterminés par le vieillissement, en intervenant contre la solitude et l’isolement social, en particulier là où il y a peu de réseau familial et amical. […] Forts de la précédente expérience triennale, qui grâce à plus de 4 M EUR a permis de soutenir 142 projets pour le vieillissement actif, nous pourrons lancer de nouveaux projets fondés sur la conscience d’une société caractérisée par des changements rapides et le fait que les personnes âgées ne doivent pas être laissées à la marge. […] »
Le programme s’articule autour de trois axes : l’autonomie (300 000 EUR), la participation (400 000 EUR) et la formation (300 000 EUR). Pour permettre aux personnes âgées de vivre une vie autonome grâce à l’accroissement de la santé et du bien-être, l’idée est de développer des politiques de proximité, notamment en faveur des personnes fragiles et vulnérables, au travers de la promotion de l’activité physique et cognitive et de modes de vie sains. L’accent est également mis sur la participation active. La personne âgée est considérée comme un « capital social » qui a un rôle à jouer dans la société, notamment dans les zones périphériques, au travers par exemple de partenariats universitaires. Pour ce qui est de la formation, l’objectif est l’apprentissage permanent, avec pour ambition principale la résorption du gap digital.
Source : 12/10/2021, Il Sole 24 Ore (extrait)