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La recherche met en avant le fait que l’augmentation des dispositifs connectés a causé un accroissement des incidents liés à la sécurité IoT (79 %) et des fragilités (86 %), au-dessus de la moyenne de la région EMEA (respectivement 75 % et 82 %).
60 % des managers italiens considèrent que les normes en matière de sécurité IoT ne sont pas en mesure de suivre le rythme face au nombre croissant de dispositifs connectés.
Les hackers visent notamment les caméras de télésurveillance avant de s’attaquer aux réseaux d’entreprise. Les attaques les plus redoutées par les dirigeants concernent les dispositifs d’IoT industriel, les attaques DDOS et les failles dans l’IoT médical.
Les entreprises ont pris conscience des risques. Ainsi, « 50 % des entreprises ont déclaré avoir segmenté les appareils IoT sur un réseau distinct de celui utilisé pour les appareils primaires et les applications professionnelles clés, tandis que 32 % supplémentaires ont déclaré avoir procédé à une micro-segmentation, en contrôlant étroitement leurs zones de sécurité respectives. » indique Mauro Palmigiani, Country Manager de Palo Alto Networks pour l’Italie, la Grèce et Malte. De plus, les entreprises interrogées soulignent la nécessité de créer des environnements dédiés à l’IoT (56 %), au risk management (54 %) et à la protection contre les menaces (52 %).
Enfin, Umberto Pirovano, Senior Manager System Engineering di Palo Alto Networks, met également en évidence l’explosion du télétravail comme un des facteurs clé qui a contribué à augmenter le niveau de risque au sein des entreprises.
Source : Francesco Destri, 01/11/2021, ComputerWorld (extrait)