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Secteur Cosmétiques
Thématique Entreprises
De plus en plus d’hommes commencent à s’intéresser au marché des cosmétiques. Même si le secteur a considérablement évolué ces dernières années, il est encore difficile de trouver le produit adapté. Le businessman sud-africain, Mohale Motaung, saisit l’opportunité sur ce créneau avec le lancement de sa nouvelle marque.
Image info sectorielle

Si le marché du men’s grooming a connu une décroissance de près de 6 %, à 7,3 Mds ZAR en 2020 (environ 410 M EUR), ce segment a considérablement évolué ces dernières années en Afrique du Sud et représente 14 % des ventes totales de la filière cosmétique.

Selon Euromonitor International, il s’agit d’un segment dynamique de la beauté et des soins personnels et la croissance devrait s’accélérer pour atteindre un taux annuel de 7 % entre 2021 et 2025.

Ce marché est toutefois encore largement dominé par les catégories de produits traditionnelles, telles que les déodorants, les produits coiffants, de rasage et les parfums. Les jeunes hommes, toutefois, influencés par les réseaux sociaux, sont de plus en plus avertis sur les produits et ont des attentes très spécifiques sur les gammes de soins pour la peau.

On observe alors l’émergence de nouvelles marques de beauté indépendantes, à l’instar du dernier né Elahom Cosmetics. Son fondateur, Mohale Motaung, souhaite répondre à un manque d’offres de skin care, dédiées à la gent masculine sur le marché sud-africain.

Elahom Cosmetics qui sera lancée prochainement en Afrique du Sud offre une nouvelle ligne de soins, adaptée à chaque besoin de la peau des hommes, répondant aux préoccupations des consommateurs de la région et notamment aux changements de climats et les périodes de sécheresse.

Sources : Kedibone Modise, IOL, 5 novembre 2021 ; Euromonitor International