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« Fausses informations sur les étiquettes, documents de produits falsifiés, ingrédients de qualité inférieure ou méthodes de production non autorisées : la liste des fraudes alimentaires est longue » note le journal Aagauer Zeitung. Il explique qu’alors que la Suisse est un marché cible intéressant pour les fraudeurs du fait des prix élevés pratiqués, le gouvernement Suisse s’est dit « ouvert à l'examen d'une "approche ciblée". Par exemple, les différentes agences impliquées devraient à l’avenir pouvoir échanger des données et des informations plus facilement ». Le Conseil fédéral ne semble pas vouloir créer une nouvelle autorité dans la lutte contre la fraude alimentaire mais plutôt optimiser les structures existantes pour lutter contre un phénomène en augmentation. De même, « il n'est pas prévu de centraliser les compétences au niveau fédéral ».
Source : Samuel Thomi, 26/08/2021, Aargauer Zeitung