En janvier, le comité d’investissement et de financement de l’innovation de l’Association chinoise d’investissement, le magazine « Huanqiu » de l’agence de presse Xinhua, le Centre de recherche sur la finance écologique de l’Université Renmin et une agence de notation ont publié ensemble un rapport intitulé « Vers une puissance écologique, rapport 2020 du Top 50 de l’indice vert des villes chinoises ».

Le rapport montre que parmi 169 villes suivies par le Ministère de l’Ecologie et de l’Environnement, Xiamen (dans la province du Fujian, au sud-est du pays) remporte la première place en termes d’indice vert, avec un indice de 94,8. Elle est suivie par Shenzhen (93,6) et Zhoushan (93,3). Les autres villes avec un indice supérieur à 90 sont, par ordre décroissant, Kunming, Guiyang, Fuzhou, Shanghai, Beijing, Haikou, Guangzhou, Chongqing, Qingdao et Zhuhai.
L’indice vert de chaque ville a été calculé à partir d’indicateurs recueillis par différents ministères et synthétisés dans l’Annuaire statistique annuel publié par le Bureau national des statistiques. Pour chaque ville sont ainsi pris en compte des indicateurs tels que la qualité des transports en commun, la qualité de l’air, la gouvernance de l’eau, la consommation d’énergie, le taux de recyclage, le bruit moyen, le développement économique, la gestion financière ou encore l’éducation sanitaire de la population.

Plusieurs personnalités de haut niveau interrogées dans le rapport déclarent que le 14^e plan quinquennal (couvrant la période de 2021 à 2025) devrait mettre l’accent sur la « transformation verte » des villes, avec la promotion de mesures permettant notamment de réduire la consommation d’énergie des bâtiments et des transports urbains. 

Source : Huanqiu, janvier 2021