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En impliquant 696 chercheurs d'organisations partenaires et 574 nouvelles recrues, le centre vise à représenter un véritable outil de croissance et de développement pour un secteur clé comme la mobilité, dont on estime qu'il atteindra une valeur totale au niveau national de 220 milliards d'euros en 2030.
25 universités ainsi que leurs centres de recherche et 24 grandes entreprises actives dans le domaine de la mobilité et des infrastructures sont concernées et ont décidé d’unir leurs forces dans le but d'accompagner la transition écologique et numérique de la mobilité, d'assurer la transition industrielle et de soutenir les institutions locales dans la mise en œuvre de solutions modernes, durables et inclusives. Les domaines concernés sont la mobilité aérienne, les véhicules routiers durables, le transport maritime, les véhicules légers et la mobilité active.
Le Centre sera structuré avec un point central à Milan et 14 nœuds répartis sur tout le territoire, afin de garantir le rééquilibrage territorial qui est l'une des priorités du PNRR (Plan Nationale de Relance et de Résilience). « Le Centre national de la mobilité répond à l'une des missions clés du PNRR : passer de la recherche à l'entreprise dans une perspective de chaîne d'approvisionnement et de collaboration étendue », commente Ferruccio Resta, recteur du Polytechnique de Milan, l'organisme ayant proposé le Centre pour la Mobilité Durable. Les points forts seront des projets à haute maturité technologique avec l'intention précise d'apporter une réponse concrète aux besoins du pays dans une perspective de long terme qui va au-delà de l'échéance de 2026. C'est notre engagement. C'est l'occasion de mettre en œuvre des réformes structurelles. ».
Source : clustertrasporti.it ; 14/06/2022