L'entrepôt virtuel permet de réduire les coûts de livraison, de raccourcir les délais de livraison et de préserver l'environnement. "Cela montre de manière exemplaire ce que la logistique du futur peut apporter aux clients : l'objectif est d'éviter les stockages inutiles et de rendre les chaînes d'approvisionnement encore plus stables et flexibles", explique Thewes.

DB Schenker a déjà testé avec succès l'entrepôt virtuel de marchandises pour des clients des marchés de la construction mécanique, de l'industrie automobile et du transport ferroviaire dans le cadre de projets pilotes. Dans ce cadre, des pièces telles que des poignées, des habillages et des boîtiers ont été fabriquées à la demande directement à proximité du client. Sans préproduction ni stockage, les coûts d'immobilisation du capital diminuent ainsi également. Le nouveau service de Schenker "On-Demand Production" (fabrication à la demande) avec entrepôt virtuel est désormais proposé à un large cercle de clients dans le monde entier.

Pour ce nouveau produit, DB Schenker s'appuie également sur l'expérience de la Deutsche Bahn - avec déjà 80.000 pièces fabriquées via l'impression 3D à partir de différents matériaux et technologies. "D'après nos constatations, jusqu'à dix pour cent des stocks des entreprises peuvent en principe être fabriqués sur place", a déclaré Thewes. Les pièces de rechange dont on a rarement besoin ainsi que les pièces qui doivent être stockées en grand nombre en raison de quantités minimales élevées conviennent particulièrement bien à l'impression 3D. Le stockage virtuel des pièces s'effectue par le téléchargement sécurisé des plans de construction 3D dans le cloud.

Source : Deutsche Bahn, 28/09/2022