Bambuser aide et soutient plus de 350 entreprises à travers le monde, y compris des marques très connues ; elle a ouvert sa filiale à Tokyo après Stockholm, New York, Londres et Paris, et apporte déjà son soutien à des chaînes de prêt-à-porter très connues telles que Adastria et Baycrew's. Parmi les solutions qu'elle propose, il y a le service client en ligne "One to One" qui permet de présenter des articles à prix élevés à des particuliers.

L'expérience client étant au cœur de ses préoccupations, de nombreuses marques de luxe font appel à ses services. Le service "One to Many" permet de diffuser en direct à un plus grand nombre de clients potentiels. Depuis presque 20 ans, Bambuser diffuse à des services de presse du monde entier des vidéos de haute qualité, enregistrées via des smartphones. En 2019, elle a décidé d'appliquer cette technologie à une plateforme de vente en direct.

En plus de sa qualité de diffusion, la plateforme permet une grande liberté artistique, tant au niveau de la position des logos, des couleurs ou même de la police de caractères. Cela permet aux marques de communiquer sur leur image. La possibilité d'afficher les images des articles sur l'écran aide les utilisateurs à accéder aux descriptions des produits qui les intéressent et les dirigent vers la page de paiement. Cette option est l'un des points fort de la plateforme. Le service de gestion client est très au point et fournit aux entreprises un réel soutien en analysant différentes données et en proposant des conseils sur les stratégies commerciales à adopter. 

Au Japon, le commerce en ligne et notamment la vente en directe sont bien moins développés qu'en Europe ou en Amérique du Nord. Les entreprises se doivent d'être très rigoureuses et prudentes. Celles qui réussissent le mieux postent par exemple une fois par semaine à un jour et un horaire prédéfini car les Japonais accordent beaucoup d'importance à ce type de routine. La qualité d'enregistrement, celle des articles et de la communication sont tout aussi importants.  

Source : Senken Journal, article du 22 mai 2023