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Du 27 au 30 avril, le programme de l’événement a mêlé débats professionnels, master classes, projection de films et de capsules vidéo, interviews et, bien entendu, spectacles de danse. Des ballets tels que « El habs lé » de Chouaïb Brick, « Joudhour » de Ilyès Gharbi ou encore « Roots » de Kader Attou ont ainsi pu être donnés et trouver leur public via une retransmission sur Facebook.
Si l’événement n’a pu se tenir en physique, cette organisation digitale prouve bien la capacité de résilience du monde de la culture tunisien. Au-delà d’un simple changement, du physique au digital, c’est aussi l’approche du digital en tant que véritable outil de création qui a été développée, convoquant captation des œuvres et diffusion de celles-ci. Une réussite qui fera sûrement des émules.
« Source : Asma Drissi, 04/05/2021, La Presse de Tunisie »
(C) Visuel de l'événement