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Ce rachat a également permis à Keyrus de développer son activité sur le marché américain, grâce aux fortes relations entre les Etats-Unis et Israël dans le domaine technologique.
Depuis, d’autres exemples sont venus diversifier les typologies de collaboration entre les entreprises des deux pays.
Par exemple, Danem – une PME française fournissant des solutions logicielles de mobilité pour les professionnels – s’est alliée au leader israélien en sécurité et ergonomie informatique, NGSoft. Le partenariat porte sur le développement d’un back-office de CRM, une compétence apportée par l’entreprise israélienne.
Le cas inverse, une start-up française intéressant des acteurs israéliens, existe également comme l’exemple de Lyberta le prouve. Cette start-up toulousaine proposant un système de géolocalisation de stationnement sans satellite intéresse fortement la Communauté Urbaine de Tel-Aviv ainsi que le groupe On Track Innovations, un des leaders mondiaux dans les solutions basées sur les cartes à puces sans contact.
Plusieurs cas de figures concernant la mise en relation entre les deux pays existent ici encore : là où les retombées médiatiques de la solution proposée par Lyberta ont attiré l’attention de la Communauté Urbaine de Tel-Aviv, Keyrus avait réussi à identifier Vision.bi grâce à un bureau de veille technologique local et On Track Innovations avait été mis en contact avec Lyberta grâce à leur représentant local, Smart-e-Moon.
Source : 27/05/2021, IsraelValley